Pourquoi les inspections PV comme l’UTE C15-712-1 ou le RGIE ne suffisent pas à éviter les incendies de toiture

Les inspections comme l’UTE C15-712-1 en France ou le RGIE/AREI 2020 en Belgique améliorent la sécurité des systèmes PV. Mais même les meilleurs contrôles ne peuvent détecter toutes les défaillances à temps sur 25 ans. Seule une toiture incombustible empêche un petit défaut de devenir un incendie majeur.

Pourquoi les inspections PV ne sont pas suffisantes

Même les meilleurs cadres — UTE C15-712-1 en France ou RGIE/AREI 2020 en Belgique — ne peuvent éliminer les risques fondamentaux :

• Durée de vie de 25+ ans : connecteurs, plastiques et câbles vieillissent inévitablement.

• Défaillances intermittentes : certains arcs électriques ou points chauds n’apparaissent que dans des conditions spécifiques et échappent aux inspections.

• Délai entre les contrôles : les inspections sont périodiques ; une panne peut survenir le lendemain.

• Erreur humaine : mauvais câblage ou connecteurs incompatibles peuvent passer inaperçus.

Les inspections réduisent la probabilité, mais pas les conséquences. Si la toiture est combustible, une seule défaillance peut suffire pour déclencher un incendie généralisé.

Les inspections ne trouvent jamais tout — à temps

Les inspections UTE ou RGIE sont utiles, mais elles restent des instantanés.

• Les problèmes apparaissent entre deux contrôles : un connecteur peut être sain aujourd’hui et défaillant demain à cause de la chaleur ou de l’humidité.

• Défauts temporaires : un arc électrique peut se manifester uniquement à forte charge ou en conditions extrêmes, et ne pas être visible lors du contrôle.

• Durée de vie vs. fréquence des inspections : les installations PV fonctionnent 25 ans ou plus. Même avec des contrôles réguliers, de nouvelles pannes apparaîtront inévitablement et ne seront pas détectées à temps.

Cela signifie que les inspections limitent les risques, mais ne les éliminent jamais. Si la toiture reste combustible, une défaillance non détectée peut toujours entraîner un incendie catastrophique.

De la détection à la maîtrise du feu

Les ingénieurs en gestion des risques le savent : la prévention n’est jamais parfaite. La maîtrise de la propagation du feu est tout aussi cruciale.

• Toitures combustibles (bitume, EPS, PIR) : une fois la couche isolante enflammée, le feu se propage rapidement sur des milliers de mètres carrés.

• Toitures incombustibles : l’incendie reste localisé et s’éteint de lui-même une fois le composant PV défectueux consumé.

C’est pourquoi les assureurs en Europe et ailleurs exigent désormais des couches incombustibles sous les installations PV, et pas seulement des contrôles électriques.

Les solutions éprouvées d’AllShield

AllShield fournit exactement cette protection manquante :

• AllShield Blue – un revêtement minéral liquide qui transforme les toitures de classe B existantes en surfaces incombustibles.

• AllShield BarrierSheet – un panneau minéral classé A1, placé sous l’étanchéité, empêchant le feu d’atteindre l’isolant.

Les deux solutions ont été testées indépendamment par le ZAG et NEN 7250:2021. Les résultats montrent que les incendies PV s’éteignent d’eux-mêmes et que les flammes ne se propagent pas.

Les inspections aident, mais la toiture incombustible est décisive

Les inspections comme UTE C15-712-1 (FR), Consuel (FR), RGIE/AREI 2020 (BE), mais aussi Scope 12 (NL), VdS 3145 (DE), IET Code of Practice (UK) ou NFPA 70/NEC (US) sont toutes essentielles. Elles améliorent la fiabilité et réduisent les risques immédiats.

Mais aucune inspection ne peut prévenir toutes les défaillances au cours des 25 ans de durée de vie d’un système PV.

La seule manière de garantir qu’un défaut PV ne se transforme pas en incendie de toiture catastrophique est de combiner inspections et toiture incombustible.

Avec AllShield Blue et BarrierSheet, les propriétaires et assureurs obtiennent une incombustibilité fonctionnelle — la protection décisive qui rend les toits solaires sûrs et assurables.